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journal des stagiaires de spire session 18/02/2008

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Revue des médias du 25 février 2008 (Claire & Cécile)

 
Plusieurs sujets ont été abordé :
 
- Villiers-Le Bel (Val d'Oise): révolte des habitants de la cité suite aux décès de deux adolescents, Moshin CEHHOULI 15 ans et Lakami SAMOURA 16 ans. Ils  sont décédés dans une collision entre la mini-moto qu'ils conduisaient et un véhicule de police. Ces faits se sont déroulés au  cours de la nuit du dimanche 25  au lundi 26 novembre 2007.
Rumeurs, accusations, témoignages contradictoires, Villiers-Le Bel et certaines commmunes voisines s'embrasent... 119 policiers ont été blessés dont 5 grièvement.

Nicolas SARKOZY a annoncé aux familles, l'ouverture d'une information judiciaire pour élucider les circonstances de leurs morts.

Lundi 18 février 2008, plus de  mille policiers ont débarqué à 6h du matin dans les HLM pour perquisitionner et interpeller 35 personnes qui ont été mises en garde à vue sans avertir auparavant le Maire de la commune.

Dimanche 24 février 2008, parmi les 35 personnes interpellées, 19 ont été mises en examen dont 12 ont été écroués.

-
Henri SALVADOR

 

Echange de savoir de pascal : l' écriture.

Chacun a écrit un mot sur un papier, ça a donné : dimensionnel, rêve, aller, jouer, courir, souvenirs, angoisse, voler, marché, envahier, se pencher, naviguer, dormir, ebruiter, tendre, grisaille, distant, immense, chevelure, salon, aura, tendresse, polynésie, jacques Chirac !?, effrayant, silence . Ensuite chacun a commencé un récit avec "il était une fois"  en introduisant au moins 5 mots de la liste dans son histoire.Trois minutes plus tard c' était quelqu' un d' autre qui poursuivait le début du récit avec les mêmes consignes, et trois personnes participaient en fait à chaque récit en essayant de suivre une certaine logique. Voici les récits.

 

texte d'atelier d'écriture de l'échange de savoir

Il était une fois, dans un océan, sur un navire... Tout le monde dormait à bord. Nous naviguions vers le sud. Je me penchais et regardais l’eau sombre. Le silence régnait sur l’océan, immense et calme. Je n’arrivais pas à dormir et la nuit m’étouffait. L’angoisse m’envahissait peu à peu et j’aurais voulu courir loin mais c’était impossible. J’aurais voulu que ce voyage ne fut qu’un rêve.

Coincé entre ciel et mer dans cette machoire d’infini, là où les autres êtres peuvent aller en haut, en bas, à droite, à gauche. Nous ne faisions qu’avancer sans objectif : juste suivre sans choix les aléas du vent, source du ciel, et au gré du courant, source des mers. Nous suivions notre conquête des espaces inconnus. Le regard fixant les étoiles, seuls repères, mes idoles, mes pères. Je m’assois et m’assoupis attendant le marchand de sable. Sable, terre , roche… où vous retrouverai-je ?

-          Sous un coquillage bien sûr !

Comment était-il arrivé jusqu’ici et surtout, comment comment avait-il fait pour entendre mes pensées ?

-          Facile ! étant donné que je suis un personnage purement fictif, je peux faire ce que je veux et, de plus, je suis omniscient.

Je crois qu’il est temps que j’arrête de chercher la complexité là où il n’y en a pas forcément, et que je me laisse porter par l’inconnu, en tenant la barre.

-          Viens, on va manger une glace.

 

texte d'atelier d'écriture de l'échange de savoir

Il était une fois une fois un grand garçon qui s’appelait Jaques Chirac. C’était un grand bâton avec des bras longs comme un dimanche sans pain, et qui portait sur sa tête une longue et belle chevelure noire comme du jais. Un beau matin il découvrit avec angoisse son oreiller qui était recouvert de ses beaux cheveux, il perdait sa toison, il allait devenir chauve comme un œuf, bref, il avait grave les boules ! Sans plus attendre, il rechercha comment remédier à ce drame, et, après des heures de surf effréné il trouva… La solution se trouvait en Polynésie… il devait y aller. Malheureusement les compagnies aériennes refusèrent de le laisser monter car il était trop grand. Il allait devoir naviguer…

Déçu, abattu, pour lui il n’y avait plus rien à faire, quand son voisin lui proposa de se présenter aux élections présidentielles. Sachant que la confiance n’était pas son amie proche, il crut que c'était un canular. Quelques jours plus tard il fut convaincu. Bien que ça ne fut pas gagné d’avance, ils commencèrent la campagne. Au beau milieu de celle-ci, il eût une idée de génie et ce fut le début de sa gloire.

Son voisin et lui discutèrent longuement avant de se mettre d’accord sur la création de perruques adaptées à chaque personne. Ils s’appuyèrent sur l’idée de coiffeur visagiste. Ils firent un sondage auprès des personnes chauves et eurent leur approbation. Aucun autre candidat n’avait pensé aux chauves, ce qui leur permis de récolter leurs voix. Jacques Chirac put gagner la bataille des élections grâce à son voisin. Dans le cadre de son mandat, les compagnies aériennes acceptèrent donc qu’il prenne l’avion pour se rendre en Polynésie. Il alla dans le salon de perruques créé par son voisin français. Il gagna donc deux victoires, c’est-à-dire de nouveaux cheveux et les élections : il préside désormais la France.

 

texte atelier d'écriture de l'échange de savoirs.

Il était une fois, Jacques Chirac se promenant au marché. Il rencontra une ancienne amie à lui, une très belle femme. Ils discutèrent un bon moment, se racontant leurs souvenirs de jeunesse pendant les vacances en Polynésie.

 

Ils étaient là, à échanger des moments qui  les ramenaient  l’un comme l’autre au bon vieux temps, lorsque tout à coup des bourrasques de vent commencèrent à secouer en tous sens les étalages des marchands. Les fruits, les légumes, les baguettes et les pains complets, les poissons aux écailles luisantes, des parasols déchirés par le vent et les coquillages nacrées s’envolaient. Les badauds du marché s’accrochaient désespérément à ce qu’ils trouvaient, pendant que Jacques Chirac et sa chevelure sombre décollaient en direction de l’embouchure du fleuve

 

 où l’attendaient  ses plus fidèles supporters : les éleveurs bovins, bien sur ! Il s’interrogeait sur la pertinence de leur exil sur le bord du fleuve et la perspective de se frayer un chemin jusqu’à eux réveillait déjà des douleurs dans ses vieilles cannes fatiguées. Mais, pour Jacques Chirac, le privilège de tâter de la vache normande en dégustant un brie bien coulant vaut tous les sacrifices ! Il est comme ça Jacques, et on le regrettera !

 

 

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